Voilà plusieurs jours que je cherche à aborder cette thématique. Je voulais initialement le faire au travers d’un post Instagram, mais j’arrêtais pas de repousser le moment de m’y mettre.. Car je savais en fait que ça allait être long de faire ce post, et en même temps que j’allais vouloir dire beaucoup de choses, mais tout en étant concise, car un post Insta, on peut pas non plus écrire un roman !
J’étais donc en pleine procrastination !
Et puis je me suis dit : « Ben pourquoi pas en faire un épisode de podcast finalement ? », où je pourrai vraiment dire tout ce que je veux, et le temps que je veux.
Les points que je vais évoquer sont donc des points avec ma vision personnelle, des points que j’aurais aimé savoir, ou avoir conscience plus tôt. Mais peut être qu’à votre niveau, vous avez déjà d’autres prises de conscience que vous auriez aimé avoir plus tôt, je vous invite d’ailleurs à venir me les partager, vous pouvez venir me voir en message privé sur Instagram sur mon compte @christelle.cayet si ça vous dit de papoter !
1er point Alimentation et corps : Être consciente du poids de la culture des régimes dans notre société
Le 1er point dont j’aurais voulu avoir conscience plus jeune : c’est le poids que représente la culture des régimes dans notre société, l’importance que notre société accorde à la minceur.
Avant de m’intéresser plus précisément au rapport avec la nourriture, au comportement alimentaire, etc : j’étais à 100% dans une mentalité de régimes, j’avais des pensées grossophobes, et j’adhérais totalement aux messages véhiculés par la société qui disaient (et qui disent toujours d’ailleurs) : qu’être mince c’est mieux.
Face à une personne grosse, je me disais qu’elle pouvait faire un effort pour se préparer des repas un peu plus équilibrés, qu’elle pouvait faire un effort pour faire un peu d’activité physique.. Donc en gros, je partais du principe que si une personne n’était pas mince, c’était dû un peu à un manque de volonté.
Je mettais beaucoup d’importance dans le fait d’être mince moi-même. Je n’en avais pas conscience à ce moment là, mais avec le recul, la pensée que j’avais en toile de fond c’était : + je suis mince, + ma valeur est grande.
Et en +, vu que j’avais pas franchement des pensées très positives envers les personnes qui n’étaient pas minces, et bien j’étais très attachée au regard des autres, et sur ce qu’ils pouvaient penser de moi et de mo physique.
Car si j’étais pas mince, ils allaient forcément me critiquer ou avoir des pensées semblables aux miennes, et ça c’était juste insupportable pour moi. Et avec le recul, je pense que je ne savais pas finalement me définir autrement : ah ben si je ne suis plus la nana mince, alors qui suis-je ?
J’étais pas franchement épanouie dans mon travail, donc je n’avais pas spécialement d’ambition pour vouloir évoluer. Donc je n’étais pas la nana qui déchirait tout dans son job.
Et à l’époque, j’avais la trentaine passée : j’étais tjrs célibataire sans enfant. Et passé 30 ans, avoir toujours ce statut, c’est pas vraiment rentré dans le schéma « conventionnel », schéma encore une fois véhiculé par la société. Je voyais toutes mes amies se marier, fonde une famille, acheter une maison.. Et moi j’avais l’impression de stagner.
Comme je vous ai déjà expliqué, l’un des buts dans notre vie, c’est d’appartenir à un groupe. Et si on n’appartient pas à un groupe, on a l’impression d’être mort socialement. Et vu que je n’appartenais ni au groupe des carriéristes, ni au groupe de ceux qui fondent une famille..
Ben mon groupe finalement c’était celui des minces. Et vu que la minceur est plutôt valorisée dans notre société.. B
en je me disais que j’avais au moins ça, donc je mettais un point d’honneur à rester mince, mais j’avais cette peur permanente de grossir, cette peur du regard des autres, et cette culpabilité ressentie dès que je mangeais un truc gras et sucré.
Voilà un peu pour l’état des lieux.
Jusqu’au jour où j’ai commencé à m’intéresser à tout ça : j’ai découvert l’alimentation intuitive, avec le compte d’Elyane C, le livre écrit par Elise Resh et Evelyne Tribole (les 2 diététiciennes américaines à l’origine de l’approche).
Cette approche qui au passage je trouve est d’utilité publique et devrait être communiquée à toutes les jeunes filles adolescentes.
Et je prends surtout conscience à quel point la société valorise la minceur, à quel point le marketing est présent autour de ça.
A quel point la perte de poids est mise en avant : sur Instagram par exemple, on voit souvent des comptes « avant/après » perte de poids, qui véhiculent l’idée qu’on est mieux après en étant mince, qu’avant.
Les fameuses astuces minceur pour avoir un ventre plat : ça me paraissait tellement banal de voir ce genre de message. Mais je finis par réaliser « Mais qui a décidé un jour qu’un ventre plat c’était mieux ? »
Je prends conscience que le marché des régimes est un marché très florissant, qui pèse plusieurs millions, voir milliards dans le monde, et forcément que ces sociétés ont tout intérêt à ce qu’on prenne ou reprenne du poids pour nous en faire reperdre !
Au cas où vous ne le sauriez pas, WW existe depuis 1963 : je pense qu’on peut considérer que c’est une société pérenne ! Donc si elle est là depuis aussi longtemps, c’est que les gens adhèrent à ses services.
Je prends aussi conscience de la place de la femme dans notre société, avec des comptes Insta plutôt féministes comme Louise de @mybetterself.
Je me rends compte qu’en tant que femmes, on est conditionnés pour plaire aux autres, et qu’on a une liste de critères de beauté à respecter pour être considérée comme étant une belle femme : tels que le fait d’être épilée, de ne pas avoir de cheveux blancs, pas de rides, pas de vergetures, pas de cellulite, évidemment d’être mince, idéalement d’être un peu maquillée.. Bref, d’avoir un corps figé, qui répond à certaines normes, mais qui à mon sens se rapproche plus d’une poupée gonflable que d’une femme humaine.
Et pour reprendre une réplique d’Elodie Arnould qui est une humoriste que j’aime beaucoup : on fait tout ça pour être belle et pour plaire mais pas trop parce qu’après on a peur de se faire agresser.
Donc je prends conscience de tout ça, et me dis qu’on a un conditionnement de la société qui est assez fort. Je me rends compte que j’ai donc été conditionné à voir une certaine vision de la femme, qu’heureusement, certains comptes Instagram tendent à déconstruire cette image, mais ce n’est pas la majorité, et il faut aller les chercher.
Donc j’aurais aimé avoir conscience plus tôt de ce conditionnement qui est véhiculé.
Et pour reprendre les enseignements (si je peux appeler ça comme ça !) que je vous transmets : chaque circonstance dans la vie est neutre. C’est nous qui y apportons une signification par nos pensées.
Si on prend comme circonstance, comme fait « le corps d’une femme » : apporter comme signification « c’est mieux que le corps d’une femme soit mince, avec un ventre plat, sans vergétures etc » : c’est un choix de décider de penser ça.
La société au sens large a décidé qu’être mince c’était mieux, que les vergetures c’était moche, que les cheveux blancs c’était moche.. Donc relayé par les médias, les réseaux, les sociétés de régime etc, on est indirectement conditionnés.
Et j’aimerais avoir eu cette prise de conscience plus tôt. Je ne vais pas vous dire qu’aujourd’hui ça ne me gênerait pas d’avoir des vergétures par exemple, mais je prends plus de recul en tout cas.
J’ai conscience maintenant qu’avoir envie d’être mince, vu la société dans laquelle on vit : c’est normal. Quand on voit les tisames ventre plat dans les rayons des supermarchés, ou les coupes faims dans les rayons minceur des pharamcie (rien que ça, les pharmacies qui ont des rayons exprès pour mincir !) : je prends davantage de recul.
J’ai conscience maintenant qu’on a tous des corps différents, qu’on n’est pas tous égaux face à la minceur, ce qui m’amène à mon 2e point, pour lequel j’aurais aimé avoir une prise de conscience plus tôt.
2e point : Savoir qu’on ne peut pas contrôler à 100% son poids
Ce 2e point, c’est le fait qu’on ne peut pas contrôler son poids à 100% via l’alimentation et l’activité physique.
Comme je vous le disais, j’avais clairement il y a quelques années une mentalité de régimes. Même si jamais je ne l’aurais présenté comme ça à l’époque, car je ne me considérais pas au régime.
Et effectivement, dans ma manière de manger : on peut pas dire que je faisais un régime, j’ai jamais trop essayé de régimes farfelus (les pires pour moi étant des régimes à base d’un seul aliment, type le régime à base que de soupe, ou que d’ananas, ou que de boissons type Slim Fast (à l’époque quand j’étais petite ma mère avait tenté ça).
Mais je vous aurais quand même dit : « Mais non, je ne suis pas au régime, je fais juste un peu attention ! ».
Et ce fameux « Je fais attention », je vous amène à vous demander si vous vous le dites aussi, cette fameuse phrase qui sous entend qu’on n’est pas du tout au régime : cela reste quand même une mentalité de régimes.
Donc ma mentalité de régime était un peu représentée dans ma manière de m’alimenter : mais surtout dans ma manière de me comporter en dehors des repas, et ma manière de pensée.
Ma manière de me comporter en dehros des repas : c’était le fait de me peser tous les jours. C’était le fait de me regarder souvent dans la glace, même dans les vitrines des magasins pour vérifier que mon reflet était parfait.
Et au niveau de ma manière de penser : c’était des pensées parfois culpabilisantes dès que je mangeais gras et sucré, et c’était des pensées comme je vous expliquais, des préjugés vis-à-vis des personnes qui n’étaient pas minces, auxquelles j’y associais un certain laisser aller, et un manque d’effort.
En m’intéressant à tout ce qui tournait autour de l’alimentation, tous mes principes ont été complètement revus, puisque j’ai découvert que le poids pouvait varier selon pleins de facteurs en fait. Et des facteurs qui sont pour la plupart indépendant de notre volonté.
Déjà, la génétique. Il est fort probable que vous héritiez de la corpulence de vos parents, ou en tout cas d’un de vos parents.
Et on peut essayer tous les régimes du monde : à un moment donné, notre corpulence est ce qu’elle est.
Plein d’autres facteurs entrent en jeu et contrôlent notre poids, tels que notre niveau de stress, notre niveau de sommeil, les grossesses éventuelles, les maladies génétiques, les hormones, les médicaments, la ménopause…
Et certes il y a aussi l’alimentation et l’activité physique : mais quand bien même il y a ces 2 facteurs, quand bien même vous pourriez perdre du poids en mangeant moins et en faisant du sport à outrance : notre corps est programmé pour faire un certain poids, qui assure les fonctions vitales de notre organisme.
Le but de ce poids d’équilibre, ce n’est PAS de nous fournir le « summer body » idéal (idéal aux yeux de la société évidemment) pour aller à la plage cet été. Notre organisme, lui, se fiche complètement du regard des autres et de l’apparence qu’on a. Son unique but, c’est de nous maintenir en vie, et peu importe ce que les autres en pensent.
Et le plus ironique dans l’histoire, c’est qu’un autre élément qui peut influencer notre poids : ce sont les régimes à répétition.
Car déjà physiquement, comme je vous disais, nous sommes programmés pour faire un certain poids, donc même si vous arrivez à descendre en dessous de ce poids, il est fort probable que vous repreniez du poids pour retrouver votre poids d’équilibre.
Et d’autre part mentalement : vouloir contrôler son poids engendrera avec quasi certitude une perte de contrôle derrière.
C’est-à-dire qu’en en remettant votre manière de manger à des règles extérieures à vous : généralement vous allez vous priver de tout ce dont vous aimez.
Sauf qu’à un moment donné votre cerveau il en peut plus, il a juste envie de manger, de ne plus être en lutte permanente. Et c’est dans ces moments là que vont arriver les craquages alimentaires : c’est-à-dire que vous n’allez pas manger 1 gateau mais le paquet entier, vous n’allez pas manger quelques chips mais le paquet entier etc.
Et donc vous allez potentiellement manger plus que vos besoins, et reprendre petit à petit le poids que vous avez perdu.
Donc voilà pour ce 2e point dont j’aurais aimé avoir conscience plus tôt : non, on ne peut pas contrôler son poids à 100% uniquement par l’alimentation et l’activité physique. Non, le fait de ne pas être mince, ce n’est pas par manque d’effort, par manque de volonté.
Peut être que génétiquement, la personne est comme ça, peut être qu’elle a fait des régimes à répétition, et nous ne sommes tous simplement pas toutes nées pour avoir un corps semblables aux femmes qu’on voit dans les magazines.
Et au passage, le recul que j’ai aussi par rapport aux personnes minces, personnes par exemple auxquelles je pouvais me comparer dans la rue, c’est qu’elles sont peut être mince avec un rapport serein avec l’alimentation, et c’est ok et tant mieux pour elles.
Mais peut être aussi qu’elles sont minces parce qu’elles se privent de manger, peut être qu’elles sont obsédées par la nourriture, peut être qu’elles font 3 heures de sport pour compenser le fait d’avoir manger un fondant au chocolat… Donc mince, mais parfois à quel prix, c’est la prise de conscience, etla prise de recul que je veux vous amener à faire.
Et pour conclure définitivement sur le sujet du poids : j’argumente depuis tout à l’heure sur le fait d’être grosse peut être dû à telle et telle conséquence, le fait d’être mince peut être dû à tel ou tel comprotemet néfaste..
Le fin mot de l’histoire : c’est qu’on s’en fout en fait du poids.
Le poids chiffré sur la balance n’a d’importance que si vous lui accordez de l’importance, que si vous lui accordez une signification.
Et pour ce qui est du poids, à savoir l’apparence physique : plus vous attachrez d’importance à l’apparence pysique des autres, plus vous vous comparerez aux autres, plus vous-mêmes vous serez attaché à votre apparence, plus vous serez dans une dynamique de contrôle.
Donc oui, je viens de vous faire une thèse sur le fait qu’on ne peut pas contrôler son poids : mais le poids, que ce soit le chiffre sur la balance, ou l’apparence physique. On s’en fout.
Ca ne vient rien dire à propos de vous. Il n’y a que vous qui y apportez une signification.
Ce qui m’m’amène au 3e point dont j’aurais aimé avoir conscience plus tôt.
3e point : Je suis la créatrice de ma vie
Le fait que je sois la créatrice, que je sois responsable de ma vie.
Alors vous allez me dire : oui ben.. ça parait logique non ? T’étais pas au courant ?
Alors si, + ou – évidemment, mais pas autant que maintenant.
J’avais tendance à beaucoup me victimiser, et à reporter la responsabilité de ce qui m’arrivait à l’extérieur de moi.
Que ce soit pour mon job : j’étais toujours plein d’excuses pour ne pas changer.
« Oui mais quoi faire d’autre ? »
« Oui mais je vais pas quitter un CDI quand même ! »
« Et puis ça va prendre du temps avant que ça marche, et si j’échouais » etc etc
Ou que ce soit pour ma vie amoureuse : j’ai eu une période de célibat avec des aventures de quelques semaines, quelques mois..
Mon but à terme c’était vraiment de me poser avec quelqu’un (situation dans laquelle je suis actuellement), mais avant d’en arriver là et trouver la bonne personne avec qui je me sente bien.. Il a fallu passer quelques étapes !
C’est-à-dire que je trouvais toujours tout un tas de défauts aux hommes que je fréquentais : j’avais pas le petit truc, il était trop ci, pas assez ça… Bref je me trouvais toujours des excuses, ou je leur trouvais toujours quelque chose qui n’allait pas..
Un peu comme pour changer de job : toutes ces excuses étaient en fait une peur de l’engagement, une peur de changer mes habitudes, avec toujours derrière la crainte d’échouer, en l’occurrence ici, la crainte que ça se passe mal, la crainte de me séparer etc.
Alors j’étais loin de me lamenter continuellement sur mon célibat, car globalement je garde un bon souvenir de cette période, mais j’avais des moments un peu plus « down » évidemment, où je me disais parfois « Mais pourquoi d’autres personnes arrivent à trouver quelqu’un presque en un claquement de doigts.. Et pas moi ? ».
Idem par rapport à l’alimentation, par rapport à mon apparence physique : je trouvais, et je trouve encore d’ailleurs, que certaines femmes semblent beaucoup plus épanouies dans leur corps alors qu’elles n’ont pas forcément un corps normé donc elles sont plus susceptibles d’être jugées par la société.
Alors que moi, je suis toujours de nature discrète, à m’habiller de manière assez classique, même si avec l’âge ça va quand même mieux.
Mais je me suis déjà dit par le passé : « Ces femmes ont l’air beaucoup plus à l’aise dans leur corps que moi, pourquoi moi je le suis pas ? ». Presque avec une certaine envie d’avoir leur état d’esprit finalement.
Et qui reflétait en arrière plan ma peur du regard des autres, et ma peur d’être jugée.
Et avec le temps, grâces à différents coaching et à ma formation de coaching, j’ai compris que j’étais la seule responsable de ma vie.
Que j’avais le choix de continuer à me lamenter sur mon sort et à envier les autres, ou alors de faire en sorte de me prendre en main, de changer ma vision par rapport à chaque situation dans laquelle je me victimisais, et à aller de l’avant., et c’est ça aussi que je veux vous amener à faire dans mes accompagnements : à aller de l’avant.
C’est à chacun de nous de, mettre des actions en place pour que ma vie change.
Et de savourer aussi le chemin parcouru. Là, je fais notamment référence aux relations amoureuses : l’essentiel, ce n’est pas le résultat que vous allez obtenir avec cette personne, à savoir, est ce que ça va durer ou non toute la vie.
Ce qui est important, c’est tout ce que vous allez vivre avec cette personne. Les souvenirs que vous allez créés, éventuellement les leçons vous allez en tirer. Car vivre dans la crainte que ça se termine un jour, ou alors ne rien vivre du tout, toujours dans la crainte que ça se termine.. Ben finalement on passe à côté de sa vie.
Idem avec la vie pro : ce qui m’a décidé à sauter le pas, c’est de me dire qu’au moins, j’aurais essayé. Peu importe l’issue. Je sais que quand je serai vieille et que je regarderai ma vie : j’aurai beaucoup moins de regret d’avoir au moins essayé que de n’avoir rien fait du tout.
Idem avec la nourriture, l’apparence physique, le regard des autres : je ne vais pas vous dire que je suis totalement détachée du regard des autres ! Mais plus ça va, plus je m’en détache !
Et je me dis : « Comment j’ai envie de voir ma vie plus tard ? J’ai envie de regarder mon parcours en me disant que je suis passée à côté de plein de trucs parce que j’ai pas osé, de me dire que je me suis privée la moitié de ma vie de manger, ou que je me suis pesée tous les jours pendant 20 ans tout ça dans le but d’être mince ? »
Non j’ai envie de me voir comme une femme qui a vécu pour elle, qui a eu du plaisir dans son quotidien, du plaisir dans son assiette, qui a fait des choses pour elle, et pas en fonction du regard des autres.
Et ça, le regard des autres, c’est une thématique que j’aborde dans mon programme en ligne « Révèle toi ! », car pour y avoir été attachée par le passé + que ce que je ne suis aujourd’hui : je sais à quel point c’est pesant, et on travaille ensemble pour que vous puissiez vous en détacher pour vivre une vie à 100%.
Conclusion
Voilà pour cet épisode avec les 3 choses que j’aurais aimé savoir plus tôt, à savoir :
1er point : Être davantage consciente de la présence de la culture des régimes dans notre société, pour pouvoir prendre + recul par rapport aux messages véhiculés
2e point : Savoir qu’on ne peut pas contrôler à 100% son poids
3e point : Etre consciente que je suis la créatrice de ma vie, et que me lamenter sur mon sort ne me ferai pas avancer vers une vie que je veux vraiment. Si je veux changer, il ne tient qu’à mois de mener les actions pour y arriver !
J’espère que cet épisode vous aura plu, n’hésitez pas à venir me dire en message privé sur Insta si vous aussi vous avez maintenant conscience de certaines choses et que vous auriez aimé savoir plus tôt !
Pour travailler avec moi :
- Coaching individuel : 10 séances d’1h en visio via Zoom. Pour en savoir plus, cliquer ici.
- Programme en ligne : Pour en savoir plus, cliquer ici.
Ce podcast est disponible sur

0 commentaires