14. Confiance en soi : 3 pistes pour la développer

Mai 18, 2022 | Podcast

Aujourd’hui, on va parler de confiance en soi !
Car souvent, l’une des raisons pour lesquelles on aimerait perdre du poids : c’est qu’on se dit que si on a telle apparence physique, alors on aura plus confiance en nous. On osera faire davantage de choses.

Le fait de perdre du poids est un fait, une circonstance neutre. Chacun de nous y attache une signification particulière. Pour certaines personnes, ce sera qqch de neutre.

Pour d’autres, (et si vous écoutez ce podcast et me suivez : je pense que vous êtes pas mal dans ce cas !) : ça aura une connotation positive, avec le sentiment qu’on sera plus belle, plus désirable, on sera plus susceptible de plaire. Et donc si on se sent belle et désirable : on aura donc davantage confiance en nous pour oser aller aborder une personne qui nous plaît, ou oser parler en public par exemple.

J’aimerais vous donner 3 autres axes à exploiter pour trouver cette confiance en vous.

Voici les définitions que j’ai pu trouver sur Internet en ce qui concerne la confiance en soi :

– La confiance en soi, c’est se connaître, croire en son potentiel et en ses capacités.

 – La confiance en soi, c’est avoir la conviction d’avoir les ressources en soi pour faire face à ce qui va arriver. C’est donc la capacité à se jeter dans l’action malgré les doutes.

– La confiance en soi, c’est se sentir capable de réussir, mais aussi rebondir en cas d’échec.

On a tendance à souvent conditionner notre confiance en nous :

Par exemple, quand j’aurais fait cette formation, je me sentirai plus confiante, plus légitime.

Je vous parlais de la perte de poids tout à l’heure, que ça peut être une condition aussi à notre confiance en nous, mais je pense que si vous me suivez depuis un moment, vous savez que notre apparence physique, notre corps, notre poids ne se contrôle pas uniquement juste par notre bonne volonté, je parlais encore dans l’épisode 13 de la semaine dernière des facteurs qui influencent notre poids. Donc si on attend d’avoir ce physique pour pouvoir certaines choses : on peut parfois attendre longtemps.

Et à force de conditionner cette confiance à l’atteinte d’un certain résultat : finalement on finit par ne rien faire, ou au mieux, à avancer à pas de fourmis, avec la peur de l’échec qui est toujours en toile de fond.

J’aimerais vous donner quelques pistes afin que vous remettiez cette confiance en vous provienne pas forcément de l’atteinte d’un résultat.

re piste : Développer sa confiance en soi en sachant que je peux compter sur moi

Pour la 1ère piste que j’aimerais vous donner, j’aimerais faire le parallèle avec la confiance qu’on accorde à quelqu’un.

Pour moi, lorsque je dis que j’ai confiance en quelqu’un : si je lui fais confiance, c’est que je sais notamment que c’est une personne honnête, et sur qui je peux compter.

C’est-à-dire que c’est une personne qui n’hésitera pas à me dire ce qu’il y a à dire, et c’est quelqu’un qui ne sera pas fourbe, qui ne va pas me faire un coup dans le dos.

Et comme je vous disais, c’est aussi une personne sur qui je peux compter : c’est-à-dire que je sais que si j’ai besoin de cette personne, elle sera là. Elle sera présente. Même si on ne se voit pas, ou on ne se parle pas tous les 4 matins : elle saura être là quand il faut.

Elle saura me soutenir dans les moments pas top, et si j’ai besoin qu’elle me rende un service : je sais que je peux compter sur elle.

Cette relation de confiance que vous avez peut être avec votre meilleure amie, votre mère, votre partenaire : vous pouvez vous demander si vous avez la même relation avec vous-même.

Est-ce que vous faites preuve d’honnêteté envers vous-mêmes ? Est-ce que vous acceptez que vous avez des parts d’ombre, que vous n’êtes pas parfaite ? Est-ce que vous savez reconnaître lorsque vous avez tort ?

Et à mes yeux, le plus important : savez-vous être là pour vous quand ça ne va pas, ou être vous du style à vous autoflageller continuellement ? Est-ce que vous pouvez compter sur vous-mêmes ? Est-ce que vous restez dans votre propre équipe quand ça va moins bien que d’habitude ?

Ou est ce que vous vous définissez comme étant nulle lorsque par exemple vous faites une erreur dans votre travail, ou lorsque vous mangez un paquet de gâteaux dès que vous n’avez pas le moral ?
Est-ce que vos actions vous définissent à vie, et vous marquent au fer rouge comme si c’était irrémédiable ?

Je vous invite plutôt à avoir un état d’esprit de développement (j’ai d’ailleurs consacré toute une vidéo dans mon programme en ligne « Révèle toi ! » sur le bon état d’esprit à adopter) : oui ça peut arriver de faire des erreurs, de se sentir nulle parce qu’on a oublié de joindre une pièce importante à notre dossier avant de le rendre à notre supérieur, de culpabiliser parce qu’on a l’impression qu’on sortira jamais de ce cercle infernal avec la nourriture, parce qu’on a l’impression qu’on aura toujours besoin de ça dès que ça n’ira pas.

Mais plutôt que de vous définir ainsi : développez votre capacité à aller de l’avant, et à tirer des leçons de vos expériences.

Moi la 1ère : dans mon job, je déteste rendre quelque chose avec des erreurs, et selon l’importance du sujet, ça peut me plomber une soirée. Mais je fais rapidement « Next » en fait. J’élargis le zoom sur mon travail en général, je me dis que globalement, je rends plutôt un travail de qualité.

Et s’il m’arrive de rendre un dossier avec des erreurs : je me demande comment m’améliorer pour la prochaine fois.

Si avec la nourriture, vous avez tendance à manger par émotions (déjà je vous invite à écouter l’épisode 8 de ce podcast si ce n’est pas encore fait consacré au sujet !) : après avoir mangé, demandez-vous ce qui s’est passé. Pourquoi avez-vous ressenti ce besoin de manger ? Qu’est ce que vous pourriez faire la prochaine fois pour que ça se passe mieux ?

Derrière cette question, la réponse à laquelle je pense en 1er pour ma part, ce n’est PAS de se dire « Ben la prochaine fois, faudra que j’essaye de me contrôler davantage pour ne pas manger », pas du tout.

Mais plutôt : pourquoi pas essayer de manger plus lentement dans ces moments là, plutôt que d’être en mode pilote automatique. Essayer de savourer davantage ce que vous mangez.
Notez toutes les fois aussi où vous mangez, et voyez s’il n’y a pas des similitudes entre ces différents moments : est ce que ça se passe plutôt en fin de journée, est ce à chaque fois que vous rentrez du travail (et « étrangement » le WE, vous ressentez moins le besoin de manger)…

Ca aussi les émotions, c’est tout un sujet qu’on aborde dans mon programme en ligne, pour vous apprendre petit à petit (et pas d’un coup) à vous détacher de la nourriture dès que ça ne va pas.

Et le but : c’est d’être là pour vous. Le but n’est pas d’avoir une vie lisse et parfaite. Le but n’est pas non plus de se dire « c’est tout blanc ou tout noir ». Si forcément dans votre tête, vous vous dites « Soit je suis exceptionnelle, soit je suis nulle », qu’il n’y a pas de juste milieu… Ca vous envoie le message que dès que ça ne se passe pas comme vous voulez : vous n’êtes plus rien. Et au-delà de ça, ça vous emmène dans une quête permanente de la perfection, et vous finissez par être épuisée.

Et plus vous vous montrerez à vous-mêmes que vous savez rebondir dans les moments où ça ne se passe pas comme vous voulez : plus vous aurez cette confiance pour agir justement, sortir de votre zone de confort, et mener des actions qui vous conduisent vers la vie que vous voulez vraiment.

Parce que vous savez que si ça ne se passe pas bien, ça ne veut rien dire à propos de vous. Vous savez au fond de vous que vous avez juste à mettre en place certains ajustements pour que ça se passe mieux la prochaine fois.

Voilà déjà pour cette 1ère piste pour avoir confiance en soi, qui est d’avoir cette conscience à l’intérieur de soi, que quoi qu’il arrive, vous ne vous laisserez pas tomber, vous serez toujours dans votre propre équipe.

confiance en soi

 

2e piste : Développer sa confiance en soi en se parlant avec bienveillance

La 2e piste à explorer pour avoir plus confiance en vous : c’est le fait de se parler avec bienveillance.

Alors vous allez me dire que c’est un peu similaire à la piste précédente. Oui un peu, mais pour moi précédemment, on est plus dans l’action. Dans la mise en place d’actions correctrices pour qu’une situation qui ne s’est pas passée comme vous voulez se passe mieux la prochaine fois.

Là, je parle plus de votre discours intérieur.

Je vais reprendre une phrase qui va vous sembler peut être un peu bateau : mais quand vous entendez le conseil « Parlez-vous comme vos parleriez à votre meilleure amie » : c’est tout à fait ça !

On a souvent tendance à avoir des mots beaucoup plus durs envers soi même qu’envers les autres.

Si votre meilleure amie se sent mal parce qu’elle a fait une erreur au boulot, ou parce qu’elle mangé un paquet de gâteaux devant la TV et que ça arrive tous les 2 jours : je doute que vous lui disiez qu’elle est nulle et qu’elle n’arrivera jamais à rien dans la vie, ou qu’elle peut bien faire un effort pour se contrôler de manger.

Avec vous : c’est pareil.

Je vous l’ai dit plusieurs fois maintenant, mais nos pensées sont créatrices de nos émotions, qui engendrent des actions, et qui créent notre réalité.

Lorsque vous avez des pensées, un discours intérieur dans lequel vous vous dénigrez : en terme d’émotions, ça va engendrer plutôt des émotions négatives : vous allez par exemple vous sentir incapable, et globalement, ce ne sont pas des pensées qui vous aideront à aller de l’avant.

En + de ça, ça va être des pensées souvent de rumination, des pensées redondantes qui vont tourner en boucle dans votre tête..

Sans pour autant vous trouver génialissime tout le temps, mais être plus modérée dans vos propos : ok, ben là il s’est passé ça.. Je sais que je peux faire autrement, je sais que ça peut s’arranger.

Comme je disais tout à l’heure : ne pas être dans le tout blanc ou tout noir. Accepter juste que de temps en temps, vous avez une part d’ombre dans la lumière que vous dégagez, et c’est Ok.

Et plus vous vous parlerez avec bienveillance, et indulgence : plus vous aurez cette confiance pour faire des choses que vous n’avez pas l’habitude de faire.

Ca rejoint ce que je disais sur le fait de pouvoir compter sur vous : vous savez que si, lorsque vous tentez quelque chose de nouveau, ça ne se passe pas comme vous voulez : vous n’allez pas vous punir intérieurement pendant des jours, sur la manière dont vous avez agi. Vous n’allez pas vous auto flageller mentalement.

Car finalement, cette confiance que vous espérez avoir pour faire certaines choses, comme je disais, c’est pour éviter de vivre une émotion négative. Mais si vous savez d’ores et déjà que vous aurez un discours « modéré » envers vous-même quoi qu’il arrive, forcément vous serez plus enclin à aller de l’avant.

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3e piste : Développer sa confiance en soi en tenant compte de son propre avis

La 3e piste que je voulais vous partager pour avoir plus confiance en vous : c’est de tenir compte de votre propre avis. De faire les choses pour vous, et non pour les autres.

Lorsque vous faites des choses en fonction des autres, mais qu’en fait, ce n’est pas vraiment ce que vous avez envie de faire : ça revient finalement à déstabiliser vos fondations. Vous vous montrez que vous n’êtes pas importante, et que les autres ont plus d’importance que vous.

Ca peut être par exemple le fait de toujours dire oui, alors que vous aimeriez dire non. De toujours être là pour les autres, bien que vous soyez fatiguée, bien que vous vous n’ayez pas forcément envie de rendre tel ou tel service, bien que vous aimeriez plutôt vous reposer plutôt que d’aller à cette soirée chez des amis…

Vous pouvez alors vous demander « pourquoi vous dites oui à tout ? ». Quel est le scénario que vous imaginez si vous refusez de rendre ce service, ou si vous refusez cette invitation ?
Est-ce que vous avez peur qu’on pense de vous que vous êtes une mauvaise personne ?

Et si vous envisagiez le fait que finalement, il ne se passe rien ? Qu’au contraire, les effets seront plutôt bénéfiques car vous vous serez privilégiée ! Tant pis pour le service rendu que vous pourrez soit rendre une prochaine fois, soit pas du tout, tant pis pour cette invitation qui peut être reportée.. Les autres peuvent comprendre si vous expliquez votre démarche !

Je parle ici du fait de dire oui à tout le monde, mais il y aussi le fait de demander l’opinion de tout le monde dans le cas où par exemple vous voulez vous lancer dans quelque chose d’innovant.

Alors je ne dis pas qu’il ne faut pas demander l’opinion des autres, c’est humain, et les autres peuvent être de bons conseils.

A vous de voir si vous savez faire la part des choses : quelle sera votre décision si face à ce projet innovant, personne ne vous suit, tout le monde vous dit que c’est trop dangereux, que vous ne devriez pas y aller… Est-ce que vous vous plierez à l’opinion générale ? De peur d’être jugée si ça ne marche pas ?

Ou est ce que vous irez jusqu’au bout de votre idée ?
Car au final, le seul avis qui compte : c’est le vôtre.

Et c’est en vous montrant régulièrement que votre propre avis est important, que votre propre avis compte, que vous gagnerez en confiance, que vous vous montrerez encore une fois que vous pouvez compter sur vous. Que votre opinion, vote bien être a de la valeur.

confiance en soi

 

Conclusion

Comme vous pouvez le constater, ces conseils que je vous donne n’ont rien à voir avec l’apparence physique.
Et je sais pas vous, mais pour ma part, quand je me pesais régulièrement : mon poids n’était jamais de toute façon assez bas, mes cuisses jamais assez fines.. J’en voulais toujours plus.

Donc cette quête de confiance en moi et de valeur était une quête sans fin !

Ces conseils que je vous donne doivent vraiment venir de l’intérieur, et d’une décision de votre part (comme souvent de toute façon dans ce genre de process), d’une décision de votre part de changer de focus.

De remarquer les fois où vous êtes là où vous vous laissez tomber parce que quelque chose ne s’est pas déroulé comme vous le souhaitiez. De voir plutôt comment vous pourriez faire mieux la prochaine fois, de tirer des leçons de cette expérience.

De remarquer les fois où vous n’êtes pas sympa avec vous-mêmes, et de vous « corriger » : ces fois là, demandez-vous si vous parleriez comme ça à votre meilleure amie. Je trouve que de se poser cette question nous amène à prendre un peu de recul quand on est agacé par soi même, ça nous amène à nous calmer et à nous dire « Ouais nan là t’exagères un peu de te parler comme ça, c’est pas si terrible ! »

De remarquer toutes les fois où vous vous dites « Ouais là, j’ai dit oui, mais j’aurais eu envie de dire non », et de vous dire qu’à l’avenir, ça se passera différemment.

C’est petit à petit, en apportant ces réajustements, que vous vous montrerez que vous êtes importante, que vous prenez votre place, que vous gagnerez ainsi en confiance et irez de l’avant.

confiance en soi

 

Dans mon programme « Révèle toi ! », toute la 1ère partie est justement consacré à bâtir votre fameuse sécurité intérieure, à construire des fondations solides avec vous-mêmes : on parle de votre rapport au bonheur, du regard que vous avez sur votre passé, de votre manuel interne, de perfectionnisme, évidemment du regard des autres…

Pour ensuite, aborder plus sereinement la 2e partie qui est davantage consacrée à la relation avec la nourriture : à savoir le rejet de la culture des régimes, la reconnexion à ses sensations de faim et de satiété, la gestion de ses émotions, se donner le droit de manger. On aborde aussi le sujet de la nutrition bienveillante…

Et c’est vrai que j’aurais pu bâtir un programme où je suivais au sens strict les principes d’alimentation intuitive, mais même si je trouve que cette approche est d’utilité publique comme j’ai dé&jà dit : je trouve qu’il est nécessaire de construire un socle avec soi même, ces fameuses fondations, cette fameuse confiance en vous. Car on a souvent peur de se donner cette fameuse autorisation de manger, et derrière cette peur se cache souvent (entre autres !) la peur de grossir, avec la peur du regard des autres, et le fait que finalement on ne se fait pas confiance !

Donc on aborde tout ça dans les 2 premières parties du programme, pour ensuite se consacrer à mener la vie de ses rêves : une vie qui vous correspond vraiment, vu que le but c’est que votre esprit soit moins consacré à penser à ce que vous devez ou non manger, mais plutôt consacrer votre temps, vos pensées à des projets que vous souhaitez vraiment développer.

Donc n’hésitez pas à me contacter si vous souhaiter en savoir +, et qu’on travaille ensemble durant 3 mois.

Voilà pour cet épisode, j’espère que cela vous aura apporté des pistes pour avoir plus confiance en vous, vous pouvez aussi venir me voir en message privé pour papoter, et me dire si de votre côté, par rapport à quelques années en arrière, vous avez le sentiment d’avoir plus confiance en vous, et pourquoi justement, qu’est ce que qui fait que vous avez + confiance en vous 😉

***

Pour travailler avec moi :

  • Coaching individuel : 10 séances d’1h en visio via Zoom. Pour en savoir plus, cliquer ici.
  • Programme en ligne :  Pour en savoir plus, cliquer ici.

 

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