21. Grossesse : Injonctions beauté et peur de grossir

Juil 6, 2022 | Podcast

Si vous me suivez sur Instagram, vous savez peut être que je suis enceinte !
J’attends mon 1er enfant, un petit garçon qui est prévu pour fin octobre.

C’est donc un épisode un peu spécial que je vous fais aujourd’hui, dans lequel je vous parle un peu pêle mêle de la manière dont je vis cet évènement, sur les injonctions beauté que je constate, la manière dont je mange, la peur de grossir…

Mais aussi quel a été mon mindset par rapport à ce désir grossesse et c’est par ça que je vais commencer.

Grossesse et FIV

Si vous me suivez trèsss assidument sur les réseaux sociaux, vous savez peut être que nous avions quelques difficultés avec mon homme à avoir un enfant. Cette grossesse que je suis en train de vivre a été faite par FIV (Fecondation In Vitro), et je voulais vous parler un peu de la manière dont j’ai vécu ce parcours, ceci étant, avec beaucoup d’humilité, car malgré notre galère.. On n’a pas tant galéré que ça car notre FIV a marché du 1er coup.

Je ne connais donc pas la déception que l’on peut ressentir lorsqu’on fait plusieurs tentatives qui n’aboutissent pas, je ne connais pas la persévérance dont il faut faire preuve à chaque fois pour retenter l’expérience, je ne connais pas le fait d’avoir utilisé toutes ses chances en France et de partir en Espagne pour faire d’autres tentatives (pour celles qui ne savent pas, on a droit à 4 tentatives en France).

Malgré tout, mon humeur n’a pas toujours été en mode « positive attitude », je tenais donc à vous partager comment j’ai vécu ça, mais je suis complètement consciente de la chance que nous avons, que notre parcours reste extrêmement simple, et que c’est loin d’être le cas de tout le monde.

SI nous avons dû faire une FIV, c’est parce que mon conjoint et moi-même avions tous les 2 une petite « défaillance » si je peux dire ça comme ça : moi avec un SOPK (Syndrome des ovaires polykystiques), et mon homme avec des spermatozoïdes un peu fainéants.

Avant d’en arriver à cette FIV : le parcours fut à mes yeux longs (mais encore une fois, je suis conscience qu’il y a bien plus long).

J’ai eu l’impression de passer mon année 2021 chez Labosud à faire toutes les analyses de la Terre pour savoir ce que j’avais, à attendre comme le messi que mes règles arrivent (cela doit être un des seuls moments dans la vie d’une femme où on a hâte que ses règles arrivent, car c’est en fait à partir du début d’un cycle qu’on a l’impression que les choses avancent car plein d’actions se mettent en place).

A mettre plein de rappels dans mon calendrier pour ne pas oublier de faire telle ou telle analyse (car vous avez des analyses à faire à différents stade de votre cycle (J+5, J+12, J+21) donc vous n’avez pas intérêt à louper le jour !), et à attendre les RDV médicaux qui sont très longs à avoir.

Si je devais résumer en 1 mot : j’avais l’impression de subir. J’avais l’impression de n’avoir aucun pouvoir. D’être tributaire de mes cycles à rallonge, d’être tributaire des RDV qui à mes yeux mettaient trop de temps à arriver, j’attendais sagement, et surtout impatiemment qu’on me donne les prochaines étapes à suivre, non sans une certaine anxiété en fonction des examens que j’avais à faire, et surtout de tout ce que j’avais à retenir.

Je me refusais de m’intéresser davantage au sujet, je suivais de loin 1 ou 2 comptes Instagram, mais je craignais en m’y intéressant davantage d’y penser encore + que ce que j’y pensais déjà !

La fameuse phrase qu’on vous sort quand vous n’arrivez pas à avoir d’enfant : « C’est parce que t’y penses trop »…

Pour ma part, je n’ai pas spécialement trouvé que j’y pensais constamment, je continuer à mener ma vie, mais justement, je ne voulais pas m’y intéresser davantage (par exemple lire des livres ou écouter des podcasts) de peur que cela devienne une véritable obsession.

Ceci étant, ma mère m’a sorti une phrase que je trouve très juste (ma mère qui aussi a eu du mal à m’avoir) : elle m’a dit « mais les gens disent ça, « c’est parce que t’y penses trop », mais comment veux tu ne pas y penser avec tous les examens qu’il y a à faire ?! »

Et c’est vrai que lorsque vous êtes en plein dans la période où vous devez compter à combien de jours vous en êtes de votre cycle pour faire toutes vos analyses : ben oui, vous y pensez.

L’année 2021 se passe durant laquelle on nous pose à chacun notre diagnostic, année durant laquelle via un traitement on essaye d’avoir un enfant naturellement mais en vain.

Je savais donc que l’année 2022 allait être l’année de la FIV, l’année des essais (car pour moi j’étais persuadée qu’il y allait y en avoir plusieurs).

Et fin d’année 2021, je me refusais à ce que je 2022 ressemble à l’année qui venait de se passer. Une année où j’avais cette sensation de subir.
Je me suis dit « Mais comment t’as envie de te souvenir de ce moment ? », « Comment t’as envie de raconter ça à ton enfant »

J’avais pas envie de lui dire qu’il avait été conçu dans un climat de lourdeur, que c’était mega long, que j’étais au bout de ma vie quand je ressortais des RDV médicaux, parfois avec une douzaine de feuilles (entre les ordonnances pour les analyses de sang, les ordonnances pour les traitements, les feuilles explicatives..)

J’avais envie de mettre un peu de joie dans ce processus, et avoir cette sensation de reprendre les rennes de ma vie.

Je me suis donc un peu plus intéressée au sujet. Comme je vous disais, je me refusais de m’y intéresser de peur d’y penser trop et que cela devienne une obsession, mais finalement, en refusant de m’y intéresser, je me privais d’y penser autrement. Je me privais de voir ce process d’une autre manière, je me privais d’avoir la vision d’autres personnes, qui elles avaient une autre paire de lunettes sur la réalité, plus positive que moi, et qui pouvaient m’être utiles !

Je me suis donc intéressée un peu plus à un des rares comptes Instagram que je suivais qui s’appelle @pma_positivemindattitude et au livre qu’a écrit Mia Fievez, la créatrice de ce compte Instagram, livre qu’elle a intitulé « C’est parce que t’y penses trop ! » où elle donne justement sa vision sur ce parcours, avec ses tuyaux pour le mener à bien.

Je me suis acheté un genre de journal de bord, ou de bullet journal intitulé « ma fiv et moi » de Géraldine et Dimitri Meunier, qui est un carnet vous permettant de suivre les différentes étapes de votre FIV, qui est illustré, et que vous pouvez colorier !

J’ai beaucoup aimé ce format, car j’ai trouvé que cela amenait beaucoup de légèreté et de gaieté à ce processus.
Par exemple, le nombre d’ovocytes qui sont ponctionnés est symbolisé par un pommier, et vous coloriez autant de pommes que vous obtenez d’ovocytes.

Il y a aussi tout un tas de petites actions qui sont suggérées durant les fameux 15 jours d’attente (ces fameux 15 jours d’attente, ce sont 15 jours durant lesquels vous devez patienter entre le transfert d’embryon et le test de grossesse) : donc c’est une attente qui peu sembler interminable.

Donc il y avait tout un tas d’actions un peu « self care » comme faire une grasse matinée, se faire les ongles, boire un verre de jus d’orange fraichement pressé, faire un dessin…

Bref, donc ce petit carnet a vraiment amené une touche de gaieté dans tout ce process, et cela permet aussi d’avoir un souvenir justement de cette période.
Je vous rappelle le titre : « Ma FIV et moi » de Géraldine et Dimitri Meunier.

Et enfin, ce qui m’a également aidé, c’est de mener des actions : vous avez différents professionnels qui sont spécialiste des problèmes de fertilité. Il existe des acupuncteurs, des ostéopathes qui peuvent agir dans ce domaine. Pour ma part je suis allée voir un ostéopathe et un magnétiseur.

Je ne vais pas vous conseiller plus un professionnel qu’un autre, le seul conseil que je vous donnerai, c’est de faire une action en laquelle vous croyez. Est-ce que l’ostéo et le magnétiseur ont eu un effet sur moi ? Je reste persuadée que le magnétiseur oui, mais peu importe en fait.

J’étais heureuse d’y être allée, j’étais heureuse de me sentir actrice de ce processus, et je reste persuadée que dans de telles circonstances, le mental joue beaucoup. Donc peu importe si les actions que vous entreprenez marchent ou non, l’essentiel, c’est que vous, ça vous fasse du bien, et que vous, vous y croyiez.

Voilà pour cette grande 1ère partie. Pourquoi je vous parle de tout ça : c’est pour vous montrer que oui, la vie est faite de haut et de bas, il y a des périodes moins faciles que d’autres, mais vous avez la capacité de décider de voir les choses autrement.

Et c’est ça le message que j’aimerais faire passer à mon petit garçon plus tard : ok là c’est pas cool ce que tu vis, prends le temps d’intégrer ce qui se passe, et quand tu seras prêt, demande toi comment t’as envie de te souvenir de ce moment, quelles actions tu pourrais mettre en place pour mettre davantage de joie dans ce moment ?

Donc voilà pour le côté « conception » et le message que je voulais vous faire passer.

 

grossesse

Grossesse et injonctions beauté

Concernant le vif du sujet de la grossesse, je voulais vous partager quelques éléments mon ressenti sur la manière dont je vis ce moment.

Pas tant d’un point de vue physique, car globalement, ça se passe plutôt bien ! J’ai pas trop d’effets secondaires donc je suis plutôt contente !

Mais plutôt vous partager certaines réflexions que je me suis faite, parmi ces réflexions, il y a je trouve beaucoup d’injonctions de beauté, même quand on est enceinte.

J’ai déjà pris conscience de ces injonctions depuis quelques temps déjà, depuis que je m’intéresse à l’alimentation intuitive, que je me suis abonnée à quelques comptes féministe, qui m’ont fait prendre conscience que déjà en tant que femme (sans être forcément enceinte), on est encore beaucoup dans une mentalité de « Sois belle et tais toi ».

Comme je vous ai déjà dit dans d’autres épisodes : si on se fie à l’image que nous transmet la société, il faudrait qu’on ait un corps mince, qu’on soit tout le temps bien épilées, avec plutôt des cheveux longs car c’est plus féminin, pas de cheveux blancs parce que c’est moche, pas de rides, pas de cellulite, bref : un corps figé !

Jusqu’à il y a quelques années, je trouvais ça normal qu’une femme se conforme à tout ça, j’estimais que toutes ces caractéristiques allaient avec la femme.

Plus j’avance dans l’âge, plus à ça me gonfle, d’autant plus que les hommes sont loin d’avoir toute cette liste de critères à respecter, ne serait ce par exemple pour les cheveux blancs : le côté poivre et sel est au contraire plutôt bien vu chez un homme, on dit souvent que ça lui donne un certain charme.

Je me rends compte que durant la grossesse : les injonctions beauté ne partent pas. La 1ère qui vient à l’esprit, ce sont les vergétures, car c’est celle qui m’impacte tous les jours, puisque tous les jours, je me badigeonne d’huile d’amande douce pour prévenir ces vergétures.

Je me sens grasse comme un beignet, mes tee shirt sont gras également, je vous avoue que ça me gonfle un peu de faire ça tous les jours.

Certes, on prétend qu’il faut faire ça pour aider la peau à être élastique, pour l’aider à se détendre, et pour éviter qu’elle craque, et cet état d’esprit est plutôt une démarche « self care ».

Mais franchement, je vais être honnête, si je fais ça, c’est plus dans une mentalité « Surtout ne fais pas de marques » ! que dans une mentalité « Regarde comme je prends soin de toi ! »

Parce que quelqu’un a décidé un jour que les vergétures c’était moche.
Alors, certes, il ne tient qu’à moi de me détacher de cette injoncition et de me dire « Je m’en fous », mais j’avoue que malgré tout, même si je me rends compte de ces injonctions, j’ai encore certains conditionnements avec lesquels j’ai du mal à me détacher. Et en effet, je n’ai pas spécialement envie d’avoir des vergetures.

Donc je continue de me tartiner tous les jours.

**

Autre injonction beauté que j’ai pu constater, c’est dans un livre que je me suis acheté qui s’appelle « Mon cahier de grossesse » de la collection « Les paresseuses ».

C’est un livre que je trouve très ludique (encore un !), qui est illustré avec humour, et qui explique semaine après semaine comment bébé se développe, qui donne des petits pense bête, on peut aussi y noter ses impressions, bref, j’aime beaucoup !

Toutefois sur le devant de la couverture, on peut y lire « Semaine après semaine, savoir ce qui se passe dans son ventre, To do list, démarches et rdv médicaux, rester en forme belle et sereine, s’organiser pour bien accueillir bébé, chouchouter son couple ».

Vous l’aurez compris, le fameux « rester en forme, belle et sereine » m’a un peu fait tiqué ! Pendant la grossesse, nous devons aussi rester belle !

Donc on y trouve tout type de conseils comme « utilisez du gel douche sans savon », « investissez dans un pinceau éclat pour masquer les cernes et tout ce qui fatigue le visage » (parce que faudrait pas qu’on voit qu’on est fatigué ! « offrez vous une épilation des sourcils pourrestructurer et booster votre regard ! », « Mettez vous un petit coup de blush sur les pomettes », « Pomponnez vous » etc etc.

Bref, vous l’auez compris, ce passage m’a quelque peu agacé, à croire qu’on ne peut pas être bien naturellement !

Je précise toutefois que je ne vous cite que ce passage du livre ne doit concerner que 2 pages sur les 135 qu’il en contient. Ce passage n’est donc pas représnetatif de son ensemble, vous savez que comme souvent, notre regard est attiré par le négatif, donc je précise que ça n’enlève en rien au côté ludique et fun de ce livre que je conseille si vous êtes enceinte !

grossesse

Grossesse et apparence physique

Enfin, le dernier point que je voulais aborder avec vous : c’est la peur de grossir, et la manière de manger.

Pour rappel, je passais ma vie il y a quelques années à me peser constamment, j’aurais pu vous dire tout au long de la journée combien je pesais.

Etre enceinte signifie que je vais forcément passer un changement de dizaine au niveau de mon poids, ce qui mentalement me challenge un peu, et me ramène un peu à mes vieux démons avec ma balance.

Au niveau de mon physique, cela veut forcément dire que je vais prendre au moins du ventre, voir à d’autres endroits mais bon, c’est surtout le ventre auquel je pense en 1er.

Prendre du ventre pendant 9 mois ne me pose pas vraiment de problème, c’est plus après l’accouchement où je me pose des questions : comment vais-je appréhender ce nouveau corps de transition ? Quel va être mon regard sur ce nouveau corps, j’ai une certaine crainte de ne pas m’aimer en fait.

Pour me rassurer je me dis en tout cas que je vais certainement mieux le vivre que ce que je ne l’aurais vécu il y a quelques années de ça, que j’aurai certainement autre chose à penser qu’à mon physique les 1er temps, et que mon corps saura être mon meilleur allié comme il l’a très souvent été depuis toutes ces années.

Et c’est en travaillant sur cet épisode, en écrivant, en vous disant ces lignes que je me dis avec le recul que c’est tellement futile de se soucier de son apparence physique alors que mon corps viendra de mettre au monde un petit être.

Et au passage, comble de l’histoire : j’attendais impatiemment l’écho du 2eT pour être rassurée que tout aille bien, car je trouvais que mon ventre n’était pas bien gros, pour à l’époque, 4 mois et demi de grossesse ! Je me disais donc qu’il y avait peut être un problème, que bébé ne se développait pas bien !

J’avais été un peu rassurée en attendant l’écho car j’avais eu un RDV la semaine d’avant pour mon suivi de grossesse, suivi durant lequel la sage femme fait un petit point pour savoir si vous allez bien, vous donne des bilans sanguins à faire, et vous pèse.

Pour la 1ère fois de ma vie, j’avais été heureuse de me peser et de prendre du poids par rapport à la fois précédente, car je me disais que c’était un signe de bon développement de mon bébé ! Alors qu’après tout, non pas forcément ! Mais j’essayais de me rattacher à ce que je pouvais pour me rassurer.

Et je trouvais cette situation très ironique par rapport à mon passé avec ma balance.

**

Concernant ma manière de manger : j’étais déjà globalement à l’aise avec ce que je mangeais, même si, comme la plupart des gens qui sont globalement à l’aise, j’avais de temps en temps des pensées de restrictions, des pensées du type « tu devrais pas ». Elles étaient loin de m’empêcher de manger pour autant, j’ai appris à les identifier et leur dire « J’ai pas besoin de vous, allez vous en, je mangerai ce dont j’ai envie ! ».

Force est de constater que je trouve que ces pensées ont encore diminué. C’est quelque chose que j’ai déjà pu voir ou entendre, que souvent, quand une femme est enceinte, c’est une des rares périodes dan sa vie où elle se lâche la grappe niveau nourriture.

Dans le sens où de toute façon, quand on est enceinte, la prise poids est inévitable, et comme souvent on s’empêche de manger dans le but de maigrir, ou de ne pas grossir, là on accepte l’idée que ça ne sert à rien de contrôler son alimentation, puisque notre corps va prendre le dessus.

Et je trouve ça dommage qu’on ne pense pas davantage de la sorte le reste du temps, car comme je vous dis souvent : notre corps sait ce qui est bon pour nous. Grossesse, ou pas grossesse. Notre autorisation de manger n’est pas plus légitime pendant une grossesse. On a le droit de manger, point.

Et je suis curieuse de voir l’après grossesse justement, de voir si ces pensées de restrictions vont davantage revenir, ça ne m’inquiète pas + que ça car comme je vous disais, ces pensées ne m’empêchent pas de manger, c’est juste qu’elles sont parfois un peu agaçantes !

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Conclusion

Voilà pour cet épisode un peu personnel, c’était un peu un épisode « racontage de life », j’espère que ça vous aura plu, si vous êtes enceinte, ou si vous essayez d’avoir un enfant et que vous avez des difficultés, je serai ravie d’échanger avec vous en MP sur Instagram, donc n’hésitez pas à venir me voir !

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Pour travailler avec moi :

  • Coaching individuel : 10 séances d’1h en visio via Zoom. Pour en savoir plus, cliquer ici.
  • Programme en ligne :  Pour en savoir plus, cliquer ici.

 

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