15. Plaisir et nutrition bienveillante : comment je m’organise pour les intégrer dans mon quotidien

Mai 25, 2022 | Podcast

Pour cet épisode, j’avais envie de vous partager un peu mon quotidien, sur la manière dont je m’organise pour que mon alimentation allie à la fois plaisir, et nutrition bienveillante.

Parce qu’on a souvent tendance à croire que ce n’est pas possible d’allier les 2. Parce que souvent, quand on parle de plaisir : on y associe souvent l’idée de manger des aliments gras et sucrés, on va + penser en 1er à un Liégeois au chocolat qu’à une poêlée de haricots verts quand on parle de plaisir.

Quant à la nutrition bienveillante : j’emploie ce terme car je fais ici référence au 10e et dernier principe de l’alimentation intuitive.
C’est un principe que l’on travaille en toute fin de processus : une fois qu’on a évacué les pensées diabolisantes sur la nourriture, une fois qu’on arrive davantage à gérer ses émotions autrement qu’avec la nourriture, une fois qu’on est davantage en paix avec son corps…

Et ce n’est pas pour rien si les 2 diététiciennes américaines à l’origine de l’approche ont placé ce principe à la fin : c’est parce qu’elles ont constaté que si on plaçait en au début du process le principe de la nutrition bienveillante, le fait de manger équilibré au centre des préoccupations : on restait alors dans une mentalité de régimes, avec des aliments bons ou mauvais, des aliments à éviter ou à privilégier, et ça n’aidait pas à avoir un rapport serein avec la nourriture.

Et comme elles disent dans leur livre : « L’importance excessive accordé à la nutrition a contribué à créer des mangeurs coupables, qui se sentent obligés de s’excuser ou de se justifier dès qu’ils mangent un dessert gras et sucré. » Le but est donc de reprogrammer son cerveau sur l’alimentation, avant de s’intéresser à la nutrition bienveillante.

Et d’ailleurs, je dissocie ici plaisir ET nutrition bienveillante, mais je ne devrais pas en fait. Car le plaisir fait partie de la nutrition bienveillante. Je vais vous lire un extrait du livre d’Evelyn Tribole et Elyse Resh qui expliquent ce principe de nutrition bienveillante : Faites des choix alimentaires qui respectent votre santé et vos papilles, et qui vous permettent de vous sentir bien.

N’oubliez pas qu’il n’est pas nécessaire de manger parfaitement pour être en bonne santé. Vous n’aurez pas soudainement une carence en nutriments et n’endommagerez pas votre santé après un snack, un repas, ou une journée. Ce qui compte, c’est ce que vous mangez sur le long terme, vos habitudes alimentaires. C’est la progression et non la perfection qui compte.

J’aimerais donc vous expliquer comment je m’organise pour intégrer ce principe dans mon quotidien, mais aussi quel est mon mindset, mon état d’esprit par rapport à tout ça.

Car c’est cette organisation, cet état d’esprit qui me permettent d’avoir un équilibre de vie, que ce soit au niveau de mon alimentation, au niveau de mon mental car je mange de tout donc je suis apaisée, et au niveau de mon organisation personnelle.

Etat des lieux de mon organisation

Déjà, au niveau de mon organisation et de la gestion de mes repas : je fais un menus pour la semaine, et je cuisine avec une méthode que je pratique depuis des années, c’est le Batch Cooking.
Je crois que ça fait tellement longtemps que je cuisine comme ça que je ne savais même pas à l’époque que ça portait ce nom là !

Le Batch Cooking, c’est le fait de cuisiner en lots, de se réserver une session en cuisine de 2 à 3h, généralement le WE, pour cuisiner tous ses repas de la semaine, ou en tout cas : une majorité. Vous avez différents « niveaux » de batch cooking :
– Préparer tous ses repas de A à Z : y’a plus qu’à réchauffer !
– Préparer ses repas partiellement et assembler le jour J : c’est aussi quelque chose que je fais notamment pour les salades composées, où cela ne nécessite que peu de préparation.

Par exemple si je fais une salade composée à base de riz, œufs durs, tomates, concombre, maïs : je vais cuire le riz et les œufs durs le WE, et je vais découper le concombre, les tomates, écaler les oeufs et ouvrir la boite de maÏs le jour J.

Je cuisine généralement en avance les repas du lundi midi au jeudi soir. Je garde quelques petites préparations de dernière minute pour les repas du soir.

En revanche, pour les repas du midi : je les cuisine en totalité le WE, et mets le tout dans des Tup’ en verre individuel, puisque mon conjoint emporte son repas au boulot, et moi aussi (je ne sais pas si vous m’avez suivi sur Instagram, mais à l’heure où je fais cet épisode, j’ai repris un job salarié pour 3 mois donc j’emporte mon repas à mon travail), et même quand je travaille désormais de chez moi, quand je suis vraiment à plein temps pour mon activité de coaching : or de question pour moi de cuisiner tous les midis, bien que je sois chez moi !

J’aime bien cuisiner, mais la semaine, je n’aime pas y passer du temps, ou alors faut vraiment que ça aille vite.

Je cuisine le WE en tout 4 plats différents, et nous mangeons avec mon conjoint un jour sur 2 la même chose, donc par exemple : lundi midi et mercredi midi, on va manger par exemple des lasagnes, et mardi midi et jeudi midi on va manger par exemple un gratin de pommes de terre, brocolis et saucisse. Même principe pour les repas du soir.

Je précise que pour le moment nous n’avons pas encore d’enfant, donc l’organisation à l’heure actuelle reste assez simple, et mon conjoint est très facile à vivre niveau nourriture : il aime tout ! Donc, j’avoue que j’ai quelques paramètres qui viennent faciliter mon quotidien !

Qu’en est il du reste de la semaine, à savoir du vendredi au dimanche : c’est un peu plus « freestyle ».
Pour le vendredi midi, soit je décongèle un plat que j’avais cuisiné en quantité une fois précédente, soit on va manger à l’extérieur avec les collègues, soit on va s’acheter un truc à emporter.. Bref, on avise !

Et ensuite du vendredi soir au dimanche soir : c’est en fonction de l’emploi du temps. Si on est invité chez des amis ou dans de la famille, si on se fait une sortie au resto.. C’est très variable.

Le samedi midi et dimanche midi : j’ai tendance à faire des trucs vraiment vite fait, et qu’on va pas forcément manger en semaine, comme par exemple un steak haché avec des haricots verts et des pâtes. Là, je parle plus pour le steak haché, car c’est quelque chose qui se mange sur l’instant. Réchauffé le midi c’est pas top, et en manger le soir, personnellement, je suis pas hyper fan de la viande le soir. On peut manger aussi des cordons bleus, des pavés de saumon.. C’est assez variable.

SI on mange le soir durant le WE à la maison, je vais faire un truc qu’on est susceptible de manger au resto : comme des croques monsieurs, une pizza maison…

Le WE, je fais beaucoup plus de « trucs tout faits » : Des tielles, du poisson pané, des feuilletés, des trucs Picard…

Donc voilà un peu pour l’état des lieux de mon organisation.

Pour ce qui est de mon mindset : je vais vous partager ma manière de penser en répondant à certaines remarques ou interrogations qui peuvent émerger quand je parle de mon organisation.

plaisir

1ère remarque qui peur surgir : prévoir, c’est ennuyeux !

Alors non, je ne trouve pas ça ennuyeux, car contrairement à ce qu’on pourrait penser : cela reste très flexible.

Déjà du vendredi au dimanche, comme je vous disais, c’est un peu plus au feeling. Ca arrive à mon conjoint où le mercredi ou n’importe quel jour de la semaine par exemple il a envie de se faire un McDo : ben il se fait un McDo. Et le repas qui était prévu : ben il le mange le lendemain.

Et quand bien même on ne mangerait pas les repas prévus : on peut toujours congeler.

Donc déjà, à mes yeux, ce n’est pas ennuyeux parce que ça reste flexible, et parce que pour moi, prévoir me permet de varier mes repas.

Improviser un repas : je peux le faire de temps en temps parce que j’ai toujours des ingrédients de base dans mes placards, mais le faire tous les jours, ça va vite me saouler, je ne vais pas savoir quoi faire, et je vais avoir tendance à me tourner vers des trucs super simplistes, type escalope de dinde et coquillettes.

Je vais être plus forte pour anticiper : je fais mes menus, je fais la liste de courses qui correspond, j’ai les ingrédients sous le coude, j’achète toujours en plus des « trucs tout faits » comme je vous disais, ça je le fais sur l’instant, quand je suis dans le magasin, selon ce qui me fait envie.

Faire ses menus, pour beaucoup c’est peut être une charge mentale, ça peut sembler lourd. Mais pour moi, je trouve ça fun en fait ! J’aime bien chercher des nouvelles recettes, refaire des recettes que j’ai déjà faites, donc forcément, avec cet état d’esprit, organiser ses repas devient sympa ! Et anticiper, c’est justement ce qui me permet de manger varié, de ne pas toujours manger la même chose.

Et pour moi, la charge mentale, c’est de se poser la fameuse question tous les jours « On mange quoi ce soir ? ». Et c’est que ça devient ennuyeux pour moi de se poser cette question, car si je ne prévois pas, tous les jours je vais faire des plats assez basiques..

Donc mon état d’esprit c’est ça en fait : anticiper n’est pas synonyme pour moi d’ennui, mais plutôt de fun, de variété, de flexibilité, et ça me facilite le quotidien.

plaisir

2e remarque : Comment se conecter à soi quand tout est prévu à l’avance ?

Comme vous le savez sûrement : je partage grandement les principes de l’alimentation intuitive, et dans mes accompagnements je vous invite bien évidemment à vous connecter à votre faim, votre satiété, et vos envies, et certainement pas de vous fier à des règles alimentaires.

J’aimerais faire une parenthèse sur le batch cooking, qui est donc la manière dont je cuisine. C’était au début « vendu » comme une manière pour s’organiser (ça l’est toujours), mais on voit maintenant qu’il y a certaines dérives, et que c’est vendu maintenant comme un moyen de contrôler son alimentation, de maîtriser ses calories, et de ne pas manger « n’importe quoi ».

Ca aussi, tout est une question d’état d’esprit. Je vous ai exposé ma vision de la chose précédemment : effectivement, si vous le faites dans un but de controler ce que vous mangez, et que vous vous interdisez de commander une pizza si vous en avez envie parce que votre repas est prêt, et parce qu’une pizza c’est un écart etc.. Forcément, le batch cooking va pas vous faire rêver, car l’intention derrière est complètement différente.

Donc si vous souhaitez tester cette méthode, je vous invite à vous demander pourquoi vous le faites. Car le but n’est pas de retomber dans une mentalité de régime, mais de vous faciliter votre organisation quotidienne, et d’intégrer ce principe de nutrition bienveillante.

Donc comment j’allie batch cooking, nutrition bienveillante, et connexion à moi ?

Déjà, quand je fais mes menus, je les fais en fonction de mes envies, et des légumes de saison.
Je fais en sorte qu’il y ait au moins pour les repas du midi une protéine avec poisson, viande ou œufs, des légumes, et des féculents, le schéma classique qu’on voit dans les assiettes : pourquoi, je garde ce schéma classique, ben parce que ça me convient ! Et je sais, surtout pour le repas du midi, qu’il me faut toutes ces catégories d’aliments pour me sentir rassasiée et satisfaite.

Pour rappel, je cuisine aussi pour mon homme, nous mangeons la même chose (parfois je lui fais des portions un peu plus importantes que moi) : mais c’est clair que si toutefois je voulais manger une escalope de dinde avec des légumes vapeur.. Il ne tiendra jamais le quart de la journée !Mais de toute façon le pb ne se pose pas puisque même pour moi une escalope de dinde et des légumes vapeur : je ne tiens pas non plus le quart de la journée.

Pour le soir, je respecte un peu moins ce schéma classique : comme je vous disais, manger de la viande ou du poisson le soir, ça me tente de moins en moins..

Mais quoi qu’il en soit, je me connecte à mes envies du moment. Je ne fais pas en fonction d’un nombre de calories, ou de règles alimentaires quelconque, du type « pas de féculents le soir ».. Non !

Qu’en est il ensuite au moment de manger ? J’ai mon plat qui est prêt en avance, et c’est à ce moment que je vais me connecter (encore !) à mes envies et mes signaux internes.

Après avoir mangé mon plat, je vais compléter ensuite par des aliments « non préparés » : à savoir du fromage, un yaourt, un fruit, un dessert au chocolat, une glace, une compote, un flan…

Et pour un même plat (vu que je vous ai dit qu’on mangeait 2 fois par semaine la même chose) : la fin de mon repas peut être différente d’un jour à l’autre.
Un jour je vais avoir envie et besoin de manger un yaourt et un fruit, une autre fois, ce sera un Liégeois.. C’est variable.

Pour les midis où j’emmène mon repas au travail, que j’emmène donc dès le matin : je ne sais pas forcément dès le matin quel va être mon niveau de faim, et mes envies après mon plat. Je partageais l’autre jour en story mon plat de lasagnes au saumon et aux épinards : je sais que généralement, c’est un plat qui me cale plutôt bien, donc je sais pas trop évaluer quelle place il va me rester dans mon estomac après mangé.

De ce fait, je prends plein de trucs pour avoir le choix sur l’instant T : j’avais pris un yaourt, une 1/2 poire, une pomme et des myrtilles. J’étais vraiment parée à toute éventualité ! Comme souvent, j’ai été bien calée, et je n’ai mangé que quelques myrtilles.

Tout ça pour vous montrer que même en préparant vos plats en avance, vous pouvez être connectée à vous. Généralement, un repas ne se fait pas juste avec le plat principal. Et pour ma part, généralement au moment de manger, je mange toujours mon plat cuisiné en avance avec plaisir et sans souci, et j’atteints ensuite le juste point de rassasiement en ajustant mon repas avec d’autres aliments tels qu’un yaourt, un fruit, une crème au chocolat etc.

Donc pour moi, oui, je me sens connectée à moi-même si mes plats sont cuisinés en avance.

plaisir

3e remarque : As-tu toujours du plaisir dans tes repas vu que tout est fait en avance ?

Oui, dans le sens où comme je vous disais je prévois les repas en fonction de ce qui me fait envie sur le moment, et parce que, ce qui me satisfait dans mon repas, c’est un tout. Ce n’est pas juste le plat principal que je vais préparer : c’est tout ce que je vais manger du plat principal, jusqu’à l’infusion que je prends avec mon carré de chocolat.

C’est justement cette flexibilité que je garde qui me permet d’avoir du plaisir, car j’ai la sensation d’être toujours connectée à moi, à mes envies, vu que, certes, mes plats principaux sont prévus à l’avance, mais je ne prévois pas le lundi que vendredi je vais manger un yaourt et une pomme en dessert, non, ça je le fais sur l’instant, au feeling.

Si forcément, vous prévoyez vos repas à l’avance, mais avec telle quantité de féculents à respecter, tant de nombre de cuillères d’huile, des légumes à chaque repas parce que c’est mieux, si vous mangez que des yaourts à 0% alors que vous aimeriez au lait entier, et si le fromage et les crèmes au chocolat c’est que pour le WE..

Là, votre menu ressemble davantage à un plan alimentaire, et c’est normal que vous n’ayez pas envie de vous lancer là dedans.

Alors que si vous le faites en vous disant « quelle nouvelle recette je vais bien pouvoir tester cette semaine », et ça peut importe le nbre de calories de la recette, quels fruits de saison il y a en ce moment, quels desserts sucrés me tentent cette semaine… Tient et si j’allais chez le fromager acheter un bon moreau de fromage.. Là, le mindset est tout autre !

 

Conclusion

Donc voilà pour moi ma manière de m’organiser pour intégrer le principe de la nutrition bienveillante dans mon quotidien :
– Par le fait de faire mes menus
– Par le fait de cuisiner en mode « batch cooking »,
– Par le fait de garder cette flexibilité, à la fois car tous mes repas de la semaine ne sont pas prévus, et je ne prévois pas mes repas de l’entrée au dessert.

Et accessoirement, pour moi c’est vraiment un gain de temps dans mon organisation quotidienne.

 J’y trouve vraiment mon équilibre, car je mange à la fois du fait maison, mais aussi des produits plus industriels. Certes, je vais prendre le temps de lire l’étiquette de certains produits tout fait, et parfois je vais en privilégier certains plus que d’autres, mais comme je l’expliquais au début quand je vous énonçais une partie du livre d’alimentation intuitive : j’ai une vision sur le long terme en ce qui concerne mon alimentation.

Et j’estime que via cette manière de m’organiser, et cet état d’esprit, je contribue à ma santé physique, vu que je cuisine pas mal maison, et je contribue à ma santé mentale en achetant aussi des produits tout faits, et restant connectée à ce qui me fait vraiment plaisir. Donc pour moi la nutrition bienveillante est dans mon quotidien.

Qu’on soit clair : Je ne suis pas en train de dire que pour intégrer le principe de nutrition bienveillante, il faut forcément utiliser le batch cooking, pas du tout ! Je vous ai partagé ce qui me convient à moi pour éventuellement vous en inspirer, mais c’est à vous de trouver l’organisation qui vous convient le mieux 😊

Voilà pour cet épisode, n’hésitez pas à me faire un retour sur Instagram, sur votre manière de gérer vos repas, si vous avez des difficultés à intégrer la nutrition bienveillante dans votre quotidien, je serais ravie d’échanger avec vous sur le sujet !

plaisir

Pour travailler avec moi :

  • Coaching individuel : 10 séances d’1h en visio via Zoom. Pour en savoir plus, cliquer ici.
  • Programme en ligne :  Pour en savoir plus, cliquer ici.

 

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